La Chine, dernier pays à donner son feu vert au rachat de VMware par Broadcom

© Getty Images/iStockphoto

Les entreprises technologiques américaines Broadcom et VMware affirment avoir reçu toutes les autorisations nécessaires pour procéder au rachat annoncé. La Chine était le dernier pays à devoir encore accepter la reprise de VMware, et c’est désormais chose faite.

Broadcom avait déjà reçu l’approbation d’une fusion juridique par l’Union européenne, l’Australie, le Brésil, le Canada, Israël, le Japon, l’Afrique du Sud, la Corée du Sud, Taiwan et le Royaume-Uni. La State Administration for Market Regulation (SAMR) chinoise a donc récemment aussi marqué son accord sur le rachat de VMware.

Cette approbation est intervenue quelques jours seulement après la rencontre entre le président chinois Xi Jinping et le président américain Biden lors du sommet de l’APEC aux Etats-Unis. Le dirigeant chinois a également été reçu par des patrons su secteur technologique comme Tim Cook (Apple) lors d’un dîner avec des multinationales américaines.

En vertu de la réglementation américaine sur les fusions, il n’existe désormais plus aucun obstacle juridique au rachat de VMware par Broadcom. D’après les rumeurs, cet accord aurait une valeur de 61 milliards de dollars.

Broadcom est l’un des plus grands fabricants de puces au monde, alors que VMware édite des logiciels de virtualisation qui sont souvent utilisés pour faire tourner nombre de programmes sur toute une gamme d’infrastructures de serveurs. Grâce à ce rachat, Broadcom affirme vouloir diversifier ses activités.

En collaboration avec Dutch IT Channel.

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