La couche invisible sous votre stratégie d’IA

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14:10 Mise à jour le: 14:10
par Hans Witdouck, CEO d’Eurofiber Belgique

L’infrastructure numérique des entreprises devient de plus en plus complexe. L’IA, l’IoT et les applications cloud génèrent un flux de données en forte croissance, que les environnements IT doivent pouvoir suivre dès aujourd’hui. Ce que l’on oublie souvent ? La connectivité sous-jacente qui relie tous ces systèmes entre eux.

Et l’IA renforce encore ce défi. Les applications intelligentes nécessitent un traitement des données en temps réel, une faible latence et une disponibilité garantie. Pensez à ChatGPT, qui traite plus de 2,5 milliards de requêtes par jour à l’échelle mondiale. Chaque milliseconde de retard nuit à l’expérience utilisateur et donc à votre activité.

Un rôle vital pour la connectivité

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Parallèlement, de plus en plus d’entreprises déploient leur propre LLM sur des plateformes cloud publiques comme Azure ou dans des data centers en colocation. Cela rend la connectivité encore plus cruciale : pour traiter les données sensibles de manière sécurisée et pour maintenir des performances optimales. Dès que l’IA fait partie des processus métier centraux, le réseau ne peut pas devenir un facteur limitant. Des techniques comme le contextual engineering, où les modèles d’IA vont constamment chercher des données via des API, serveurs SP ou plateformes externes, accentuent encore la pression sur la latence et la sécurité des données. Le trajet parcouru par les données est devenu tout aussi critique que leur traitement.

Cette transformation concerne toutes les entreprises. Toutes dépendent désormais d’un écosystème numérique dans lequel la connectivité rapide et fiable joue un rôle vital et de plus en plus stratégique.

La colonne vertébrale des réseaux hybrides

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Trop souvent encore, les entreprises pensent à leur connectivité trop tard. Elles adaptent leur infrastructure IT pour intégrer le cloud ou l’IA, mais la couche réseau ne suit qu’ensuite. Cela entraîne des configurations hybrides complexes qui doivent être ajustées a posteriori, avec des retards, des coûts supplémentaires ou des risques évitables à la clé.

Autrefois, le réseau était relativement simple : un ou deux data centers, des sites fixes et des flux de données prévisibles. Aujourd’hui, nous évoluons dans des modèles hybrides avec des workloads répartis entre on-premise, cloud privé et cloud public. Cela nécessite des réseaux performants, évolutifs, mais aussi redondants, transparents et sécurisés.
La connectivité ne peut plus être une réflexion après coup : elle doit faire partie intégrante de l’architecture IT dès le départ. Ce n’est pas une couche technique d’exécution, mais un levier stratégique pour la résilience, la scalabilité et la sécurité de vos systèmes numériques.

“La complexité de l’infrastructure numérique s’accélère, tirée par l’IA et l’explosion des flux de données,” conclut Hans Witdouck, CEO d’Eurofiber Belgique. “Cela exige une connectivité performante, fiable et évolutive, de plus en plus via des réseaux privés. Chez Eurofiber, nous concevons ces réseaux dès le départ, pour garantir la rapidité, la sécurité et la résilience que recherchent nos clients. Nous accompagnons les entreprises de la conception au déploiement, y compris pour des architectures hybrides, la connectivité edge et une approche security-first. Cela vaut autant pour les PME belges que pour les grandes entreprises qui étendent leur capacité data pour suivre le rythme de leurs ambitions en IA.”