La présidence de Belgacom toujours sujette à débat

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Stefan Grommen Stefan Grommen est rédacteur de Data News.

Etienne Schouppe ne sera quand même pas le président de Belgacom, selon le journal De Tijd. Stefaan De Clerck et Jo Cornu auraient davantage de chances d’y arriver que lui.

Etienne Schouppe ne sera quand même pas le président de Belgacom, selon le journal De Tijd. Stefaan De Clerck et Jo Cornu auraient davantage de chances d’y arriver que lui.

A nouveau jour, nouveau candidat, semble-t-il. Hier, c’était Etienne Schouppe qui tenait la corde pour succéder au président ad intérim Michel Moll chez Belgacom. C’est du moins ce qu’annonçait le journal De Morgen. Aujourd’hui, De Tijd réfute cette nouvelle: Schouppe ne serait plus dans la course. C’est à présent l’ex-directeur d’Alcatel, Jo Cornu, qui est présenté par le journal comme le candidat numéro un. Des sources de Data News évoquent pour leur part l’ex-ministre de la Justice et ancien bourgmestre de Courtrai, Stefaan De Clerck.

Le fait que plusieurs sources ‘fiables’ mentionnent des noms différents, illustre bien combien la joute est serrée entre les différents candidats. En outre, la présidence de Belgacom n’est pas la seule top-fonction à être vacante. Les partis gouvernementaux doivent aussi se mettre d’accord sur pas moins de 14 fonctions supérieures entre autres chez Belgacom, la SNCB, Infrabel, Brussels Airport, Belgocontrol, la société de participation et d’investissement fédérale et la Loterie Nationale. A la CREG aussi, des postes doivent être assignés, ajoute De Tijd. Ces nominations font partie d’un processus complexe, où les équilibres politiques sont déterminés sur une balance de pharmacien. Il apparaît en tout cas actuellement douteux que l’on en arrive à un accord définitif en la matière lors du cabinet ministériel restreint de ce jeudi.

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