9.300 places ICT vacantes toujours ouvertes

Stefan Grommen Stefan Grommen est rédacteur de Data News.

La fédération technologique Agoria recense dans notre pays 9.300 places ICT vacantes non encore remplies. Voilà ce qui ressort d’une enquête effectuée auprès des entreprises et des pouvoirs publics. Selon Agoria, 157.100 personnes occupent actuellement une fonction ICT contre 150.500 l’année dernière. Mais, ajoute la fédération, des places vacantes ICT restent encore et toujours ouvertes. L’an dernier, Agoria avait recensé 7.960 places vacantes qui n’avaient pas trouvé preneur, contre 9.300 cette année. La fédération sectorielle ajoute que notre pays rate ainsi 1 milliard d’euros par an au PIB. Il s’agit surtout de postes d’analystes et de consultants ICT business, d’ICT-projectmanagers, de system & application software developers et de system (hardware & software) developers.

La fédération technologique Agoria recense dans notre pays 9.300 places ICT vacantes non encore remplies. Voilà ce qui ressort d’une enquête effectuée auprès des entreprises et des pouvoirs publics.

Selon Agoria, 157.100 personnes occupent actuellement une fonction ICT contre 150.500 l’année dernière. Mais, ajoute la fédération, des places vacantes ICT restent encore et toujours ouvertes. L’an dernier, Agoria avait recensé 7.960 places vacantes qui n’avaient pas trouvé preneur, contre 9.300 cette année. La fédération sectorielle ajoute que notre pays rate ainsi 1 milliard d’euros par an au PIB.

Il s’agit surtout de postes d’analystes et de consultants ICT business, d’ICT-projectmanagers, de system & application software developers et de system (hardware & software) developers.

Agoria a pointé quatre facteurs qui pourraient permettre de combler cette carence. La fédération entend stimuler les jeunes à opter pour des formations liées à l’ICT et aux métiers susmentionnés. Dans l’enseignement, l’ICT doit en outre être intégré autant que possible à l’ensemble des cours. Agoria veut aussi former les demandeurs d’emploi avec l’aide d’instances comme le Forem, Actiris et le VDAB et les réorienter vers l’ICT. Le maintien au travail des informaticiens plus anciens se trouve également tout en haut de la liste des priorités.

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