Garvis recueille 3,5 millions d’euros. L’entreprise entend ainsi internationaliser davantage encore son AI de prévision de stocks.
La jeune pousse anversoise a été créée il y a un an et est dirigée par Piet Buyck. Elle se focalise sur les prévisions en matière de stocks. Mais comme les données du passé ne sont pas toujours fiables à cause de la guerre ou de l’inflation notamment, elle se base sur des données, visions et profils de risque en temps réel et recourt à cette fin à ce qu’on appelle l’open-box AI.
L’investissement actuel provient de trois acteurs, à savoir les fonds d’investissement britanniques Superseed et Scalebridge Capital, ainsi que l’allemand Bosch Ventures. Avec cet argent, l’entreprise entend entre autres se tourner vers l’étranger.