Uber: ‘La plainte déposée contre nous est une mauvaise nouvelle pour les Bruxellois et les navetteurs’

© BELGAIMAGE/Eliot Blondet

Uber réagit à la plainte déposée à son encontre par le ministre bruxellois de la mobilité, Pascal Smet (SP.A) en insistant de nouveau sur le fait qu”elle propose une solution de transport fiable, sûre et pratique’.

Smet a déposé plainte auprès du parquet contre les pratiques du service de taxi Uber dans la capitale. Cela met ainsi fin en Belgique également à l’approche ‘soft’ du service de transport en ligne contesté, peut-on lire dans le journal De Morgen.

‘La plainte est une mauvaise nouvelle pour les habitants et les navetteurs bruxellois’

Uber a pris connaissance des déclarations de Smet. ‘Ces explications sont une mauvaise nouvelle tant pour les habitants que les navetteurs bruxellois qui utilisent l’application et dont le nombre augmente semaine après semaine’, déclare-t-on chez Uber. ‘Nous offrons une solution de transport sûre. Une fois le service Uber commandé, le passager et le chauffeur sont entièrement assurés. Les chauffeurs Uber potentiels sont contrôlés, avant de pouvoir être autorisés sur la plate-forme.’

‘Collaboration avec le gouvernement bruxellois’

Au sein du service de taxi, l’on insiste aussi sur le fait que l’on a étroitement collaboré avec le gouvernement bruxellois dès le moment où Uber a été lancé dans la capitale. ‘Nous avons collaboré, afin de créer un cadre juridique tenant compte des nouvelles technologies. Nous sommes régulièrement en contact avec Smet. Nous avions déjà du reste fixé une prochaine réunion avec lui la semaine prochaine’, conclut-on chez Uber.

Aujourd’hui, les taxis parisiens mènent une action à l’encontre d’Uber

Aujourd’hui même, les taxis manifestent contre Uber. Une centaine de taxis se sont ralliés en effet ce lundi matin pour mener une action escargot contre le service de taxi contesté, selon l’agence de presse française AFP.

Les taxis se sont regroupés à proximité des aéroports de Roissy et d’Orly, respectivement au nord et au sud de la capitale française.

Les deux principaux syndicats n’avaient pourtant pas prévu de passer à l’action. De ce fait, il y a encore des taxis disponibles dans la Ville Lumière et aux aéroports. Le problème, c’est qu’il va y avoir à coup sûr d’énormes embouteillages. (Belga/MI)

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