PingPing en phase commerciale

Spécialisée en micro-paiements mobiles, PingPing annonce le passage de la phase pilote au déploiement commercial. Pour rappel, PingPing s’appuie sur les building blocks de Mobile-For (paiement de parking par SMS) et de Tunz (micro-paiements virtuels) pour proposer un éco-système complet.

Spécialisée en micro-paiements mobiles, PingPing annonce le passage de la phase pilote au déploiement commercial. Pour rappel, PingPing s’appuie sur les building blocks de Mobile-For (paiement de parking par SMS) et de Tunz (micro-paiements virtuels) pour proposer un éco-système complet.

Ping.Ping se distingue à plusieurs niveaux. Tout d’abord, la protection des utilisateurs via une licence européenne de monnaie virtuelle. Ensuite, les modes de chargement du portefeuille électronique peut se faire par virement online, liaison avec le compte bancaire (Keytrade banque) ou avec la facture GSM (Proximus) ou depuis peu alimentés par les tickets restaurants d’Accor (devenus des chèques virtuels). Le paiement pour sa part peut intervenir par SMS ou par liaison sans contact (par ex. distributeurs Coca-Cola qui peuvent en outre bénéficier de services de télémétrie, cantines d’universités, magasins Delhaize, etc.). De même, les achats sur le web peuvent également être réglé via PingPing. Par ailleurs, PingPing ajoute une dimension de fidélisation ou de possibilité de bénéficier d’e-coupons. “Nous proposons une plate-forme transactionnelle ouverte”, insiste Jan Van Wijnendaele, lead manager Innovation/Strategy de Belgacom, qui précise que toutes les transactions se font en direct.

Après un pilote auprès de 100 marchands environ, PingPing passe désormais à la vitesse supérieure. Ainsi, plusieurs nouvellles villes autoriseront le paiement dans leurs parkings (déjà 9.000 transactions/jour, et en croissance semaine par semaine, dans 12 villes aujourd’hui). “Et nous discutons avec toutes les banques ainsi que des acteurs du marché de la fidélité et du couponing.”