Omega Pharma lance une puce contre le rayonnement potentiellement nocif émis par le GSM

La firme pharmaceutique Omega Pharma a introduit l’E-Waves Phone Chip, une puce destinée à neutraliser le rayonnement potentiellement nocif et ce grâce à la technologie dite de l’interférence.

La firme pharmaceutique Omega Pharma a introduit l’E-Waves Phone Chip, une puce destinée à neutraliser le rayonnement potentiellement nocif et ce grâce à la technologie dite de l’interférence.

L’E-Waves Phone Chip émet une contre-onde qui neutralise les rayons potentiellement nocifs. La puce fonctionne sans pile et est fixée dans le GSM à proximité de l’accu de celui-ci. Une fois en place, elle ne peut plus être utilisée pour un autre GSM.

Selon le Dr. Peter Aelbrecht, qui a développé la puce conjointement avec un collègue chez More Energy Solutions, il se dégage de plus en plus à l’échelle internationale un consensus scientifique, selon lequel une exposition régulière à un rayonnement à haute fréquence (GSM, GPS, WiFi) peut s’avérer dangereux pour la santé.

Ce consensus a été amplifié le 8 octobre de cette année par la publication des résultats de l’étude “Interphone” réalisée au niveau mondial sur les conséquences du rayonnement, à la demande de l’organisation mondiale de la santé (OMS). De cette étude, il ressort qu’il existe un lien direct entre l’endroit où se développe une tumeur et celui où se trouve le GSM en fonctionnement. En Suède, le risque de tumeurs malignes croît de 60 pour cent après une utilisation minimale de 10 minutes du GSM. En Norvège, c’était 39 pour cent.

En réaction à ces résultats, le Parlement européen a approuvé à une très grande majorité plusieurs mesures de sécurités strictes pour les téléphones mobiles. C’est ainsi qu’en Belgique, il est interdit de faire du marketing pour les GSM destinés aux enfants.

L’organisation de défense des consommateurs Test-Achats réagit de manière très sceptique. Lors du programme Terzake diffusé sur la VRT, l’organisation a ainsi affirmé non seulement que les résultats de l’étude “Interphone” sont exploités et interprétés de manière incorrecte, mais aussi que le principe de la puce ne serait techniquement pas possible sans affecter le bon fonctionnement du GSM.

Source: Belga

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