Microsoft, adepte du Privacy Shield

Satya Nadella, ceo de Microsoft © Screenshot: Pieterjan Van Leemputten
Pieterjan Van Leemputten

Microsoft est la première grande entreprise à se prononcer en faveur des accords prévus par le Privacy Shield. Elle déclare vouloir suivre les règles édictées.

Le soutien de Microsoft est une bonne chose pour les Etats-Unis, surtout à présent que quelques organisations de défense du respect de la vie privée ont émis des critiques à l’égard du traité. Dans les prochains jours, l’UE doit également indiquer si elle accepte ou non les nouvelles mesures.

Le Privacy Shield comprend une série d’accords portant sur l’échange de données personnelles entre l’Europe et les Etats-Unis. Jusqu’en octobre dernier, tout cela se passait en vertu du traité Safe Harbour, parce que les Etats-Unis étaient encore considérés comme un pays sûr appliquant des règles similaires à celles en vigueur en Europe.

Mais suite aux déballages du dénonciateur Edward Snowden, un juge a annulé la validité de ce traité. Voilà qui explique pourquoi l’on trouve aujourd’hui une nouvelle série d’accords sur la table, que les Américains et les Européens doivent respecter, avant que des données personnelles puissent être échangées.

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