Les wannabees mobiles sont un casse-tête pour CIO

Stefan Grommen Stefan Grommen est rédacteur de Data News.

De plus en plus de travailleurs utilisent leur smartphone privé à des fins professionnelles. Parmi eux un groupe de gens en croissance, pour qui l’usage professionnel de téléphones mobiles n’est en fait pas indispensable, les dits “wannabees mobiles”. Ils confrontent les managers ICT à de nouveaux défis dans le domaine de la sécurité, du support et des achats.

De plus en plus de travailleurs utilisent leur smartphone privé à des fins professionnelles. Parmi eux un groupe de gens en croissance, pour qui l’usage professionnel de téléphones mobiles n’est en fait pas indispensable, les dits “wannabees mobiles”. Ils confrontent les managers ICT à de nouveaux défis dans le domaine de la sécurité, du support et des achats.

Des analystes de Forrester estiment que fin 2010, 15 pour cent des travailleurs seront des “wannabees mobiles”. Aujourd’hui, ils sont encore 10 pour cent. Ils sont simplement au bureau, mais veulent utiliser leur propre téléphone portable pour les e-mails, l’agenda ou d’autres applications d’exploitation. Généralement, ces téléphones mobiles ne sont pas agréés à cette fin par le département ICT.

Selon les chercheurs, les managers ICT doivent élaborer un plan portant sur l’utilisation de smartphones privés sur le lieu de travail. Des questions importantes qui se posent ici sont : quels sont les appareils et systèmes d’exploitation que supporte l’entreprise ?, Qui paie les appareils et le support et comment la sécurité peut-elle être garantie sur les appareils et les applications ?

Les analystes conseillent aux organisations ICT de définir une stratégie précise en matière de mobilité ou de durcir les directives existantes, afin que tant les wannabees que les travailleurs mobiles proprement dits sachent clairement ce qui est supporté ou non.

En collaboration avec Computable

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