‘La position dominante de la Silicon Valley remise en question’

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La Silicon Valley américaine, à savoir la région autour de San Francisco, où sont établies des entreprises comme Facebook, Netflix, Apple et Google, risque d’ici quatre ans de perdre sa position de principale zone technologique au monde. Ce sont surtout des villes telles New York, Pékin, Tokyo et Londres qui trépignent d’impatience de s’emparer de cette position.

Voilà ce qu’annonce KPMG au terme d’une enquête menée auprès de 800 dirigeants d’entreprises spécialisées en technologie. Une majorité des personnes interrogées s’attend à ce que d’ici quatre ans, une autre région donne le ton sur le plan de l’innovation technologique.

Selon l’enquête, il s’agit d’une arme à double tranchant. Outre la marche en avant enregistrée dans d’autres zones, le nombre d’évolutions importantes dans la Silicon Valley et aux alentours ne suffit plus pour qu’elle satisfasse aux exigences actuelles. Avec des coûts de la vie relativement élevés, des taxes pas piquées des vers et une infrastructure surchargée, la Silicon Valley a actuellement tendance à se sortir elle-même du marché, conclut l’enquête.

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