“Le climat d’investissements reste bon pour les ‘start-ups’ en ICT”

Si la crise financière aux Etats-Unis commence à se répercuter sur les investissements dans les ‘start-ups’, en Belgique, les capital-risqueurs (VC) continuent à faire prôner le bon sens.

Si la crise financière aux Etats-Unis commence à se répercuter sur les investissements dans les ‘start-ups’, en Belgique, les capital-risqueurs (VC) continuent à faire prôner le bon sens.

Dans le cadre d’une table ronde, Data News a interrogé plusieurs VC sur la situation des ‘start-ups’ en ICT. “Le marché des bailleurs de capital risque ne souffre pas ou à peine de la crise, estime Alex Brabers, vice-président de GIMV ICT. Le marché de clôture est bien entendu entièrement saturé, mais celui du capital ‘early stage’ ne connaît encore aucun problème. Ce n’est pas comme en 2000, lorsque tout le monde réduisait son budget.”

De même, la création de jeunes pousses technologiques n’est nullement sur le déclin. “Il y a quelques années, il était il était nettement plus compliqué de trouver des entrepreneurs, ajoute Ivo Vandeweerd, ‘spin-off manager’ chez SO Kwadraat et CEO de la ‘start-up’ M4S. Le sentiment anti-technologique post-2000 a maintenant disparu.”

Pourtant, tout n’est pas rose pour les ‘start-ups’ du secteur ICT en Belgique. Les VC évoquent un problème de culture, un manque d’ambition: les Belges développent certes des technologies performantes, mais ne parviennent pas à les vendre ou à se vendre. “Le profil le plus rare est celui de ‘product manager'”, estime nos interlocuteurs.

L’ensemble du compte-rendu du Dossier Start-ups [est à lire ici].

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