L’appli de rencontres Bumble supprime une fois de plus près d’un emploi sur trois, alors que sa fondatrice, Whitney Wolfe, tente de réorganiser l’appli en difficulté et de la sauver de l’effondrement.
L’entreprise américaine licencie quelque 240 emplois dans le monde, soit environ 30 pour cent de ses effectifs. Elle prévoit d’économiser ainsi jusqu’à 40 millions de dollars par an et envisage de réinvestir la ‘grande majorité’ de ces économies dans des ‘initiatives stratégiques, notamment le développement de produits et de technologies’. L’année dernière déjà, quelque 350 emplois avaient été supprimés, soit près d’un tiers du personnel.
Bumble est une application de rencontres où les femmes doivent faire le premier pas pour trouver une correspondance. Cette concurrente de Tinder est également utilisée dans notre pays. A l’instar de Match, propriétaire de Tinder, Bumble semble avoir du mal à s’adapter à l’évolution des pratiques de rencontres des jeunes utilisateurs. Match a récemment aussi licencié 13 pour cent de ses employés.
La fondatrice de Bumble reprend les rênes de l’appli de rencontres