Dolmen héberge les serveurs de la VMW

La compagnie flamande des eaux (VMW ou Vlaamse Maatschappij voor Watervoorziening) a choisi Dolmen pour l’hébergement de ses serveurs dans le cadre d’un contrat de près de 3 millions d’euros.

La compagnie flamande des eaux (VMW ou Vlaamse Maatschappij voor Watervoorziening) a choisi Dolmen pour l’hébergement de ses serveurs dans le cadre d’un contrat de près de 3 millions d’euros.

“La VMW ne considère pas l’hébergement de ses serveurs comme l’un de ses métiers, explique Jan Hammenecker, directeur de systèmes d’entreprise et de la communicaiton à la MVW. Nous avons deux arguments majeurs en faveur de l’hébergement par un tiers. D’une part, le professionnalisme: nous optons ainsi pour une plus grande fiabilité et la limitation des risques (meilleure sauvegarde, protection contre l’incendie). D’autre part, nous envisageons de toute façon un déménaagement à court terme. Dès lors, nous évitons ainsi une opération risquée au niveau de nos serveurs.”

Le contrat porte sur 2,5 millions d’euros sur 3 ans (renouvelable). L’implémentation et les coûts d’entretien s’élèvent eux à 380.000 euros. Dolmen a remporté ce contrat essentiellement pour son rapport prix/qualité, estime encore Hammenecker. “De plus, ils ont fait quelques propositions originales. L’innovation était donc aussi au rendez-vous.”

Désormais, les gros investissements IT de la VMW sont terminés. Le remplacement du système de gestion de la clientèle et de facturation – un contrat de près de 10 millions d’euros – a en effet été confié l’an dernier à Itineris. “Mon planning est certes encore bien chargé, ajoute Hammenecker. Mais d’autres projets se profilent déjà à l’horizon.”

La VMW vient d’ailleurs de lancer une nouvelle adjudication dans le cadre d’un contrat cadre pour des services ICT supplémentaires dans certains domaines, dont même l’hébergement des serveurs. “Nous disposons d’une équipe IT limitée, ce qui nous oblige à externaliser énormément. Ce contrat cadre est donc une estimation très large des ressources IT externes dont nous aurons besoin dans les 3 prochaines années.”

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Contenu partenaire