Acerta, les MC et Telenet créent conjointement ‘Doccle’

Kristof Van der Stadt
Kristof Van der Stadt Rédacteur en chef chez Data News

Le groupe de services HR constitué d’Acerta, de Telenet et des Mutualités Chrétiennes (MC) préparent une ‘armoire à archives numérique’. Le trio va héberger cette activité dans une entreprise séparée baptisée ‘Doccle’, et recherche d’autres partenaires.

Le groupe de services HR constitué d’Acerta, de Telenet et des Mutualités Chrétiennes (MC) préparent une ‘armoire à archives numérique’. Le trio va héberger cette activité dans une entreprise séparée baptisée ‘Doccle’, et recherche d’autres partenaires.

L’initiateur de la nouvelle plate-forme de numérisation de toutes sortes de documents papier est Acerta. Telenet et les MC l’ont rejoint rapidement, ce qui a généré une nouvelle société coopérative qui est active depuis le début de l’année. Les trois entreprises investissent chacune 500.000 euros dans ‘Doccle’. Pour le développement IT proprement dit, l’on a fait appel à Atos Wordline en raison de son expertise en sécurisation des transactions électroniques et en numérisation des services.

L’objectif est de créer une ‘armoire à archives numérique’ commune pour les entreprises et particuliers. Telenet peut y classer les factures de ses clients, MC par exemple les relevés des remboursements, et Acerta les fiches de paie. “Nous sommes parvenus à mettre assez vite les trois entreprises sur une même ligne”, déclare Bram Lerouge qui dirige le projet Doccle. “En fin de compte, il y a une problématique commune que tout le monde veut résoudre: se rapprocher du client et réduire autant que possible le seuil d’utilisation des documents numériques.”

Bienvenue à d’autres partenaires

Selon Lerouge, les entreprises qui migrent individuellement vers l’envoi numérique, se heurtent bien vite à un prix de revient élevé: “Nous visons clairement les avantages d’échelle comme la réduction des coûts. Dans une société coopérative, le coût et l’expertise sont partagés.” Pour faire encore davantage jouer les avantages d’échelle, Doccle recherche d’autres partenaires. “Le but n’est certainement pas de maintenir Doccle au sein des trois entreprises actuelles. Nous recherchons activement des possibilités de collaboration supplémentaires”, ajoute Lerouge.

En outre, l’objectif est aussi d’impliquer l’utilisateur final. “Nous devons nous assurer que l’utilisateur final en tire aussi avantage. L’identification des différents expéditeurs est aussi importante”, conclut Lerouge. D’ici le premier trimestre de l’an prochain, Doccle espère être prête à un lancement à destination des utilisateurs finaux.

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