Q-Layer: Un centre de données en quelques clics de souris

“Dans des entreprises prédécentes, nous avons toujours eu comme objectif de fournir des ressources informatiques de façon aussi simple que l’électricité. Nous avons véritablement réussi avec Q-Layer”, explique un enthousiaste Kristof De Spiegeleer, CEO de Q-Layer. Lui-même ainsi que d’autres collègues de Q-Layer sont à l’origine de plusieurs entreprises (Hostbasket, Dedigate, Datacenter Technologies, etc.), avec à chaque fois le même fil rouge : les technologies pour centres de données. “Nous capitalisons sur les principes des entreprises précédentes. La philosophie a toujours été de limiter les tâches manuelles dans un centre de données. En fin de compte, nous avons exploré le concept de virtualisation du ‘datacenter’.”

“Dans des entreprises prédécentes, nous avons toujours eu comme objectif de fournir des ressources informatiques de façon aussi simple que l’électricité. Nous avons véritablement réussi avec Q-Layer”, explique un enthousiaste Kristof De Spiegeleer, CEO de Q-Layer. Lui-même ainsi que d’autres collègues de Q-Layer sont à l’origine de plusieurs entreprises (Hostbasket, Dedigate, Datacenter Technologies, etc.), avec à chaque fois le même fil rouge : les technologies pour centres de données. “Nous capitalisons sur les principes des entreprises précédentes. La philosophie a toujours été de limiter les tâches manuelles dans un centre de données. En fin de compte, nous avons exploré le concept de virtualisation du ‘datacenter’.”

Q-Layer propose à ses clients (des ‘service providers’) des logiciels permettant de construire un ‘virtual private datacenter’. Les clients achètent des crédits, grâce auxquels ils peuvent composer par ‘glisser & déposer’ un centre de données virtuel. “Par rapport à la virtualisation des serveurs ou des réseaux,nous nous situons à un niveau supérieur. Rien qu’avec du logiciel, un client est capable de gérer le centre de données qu’il a lui-même créé.” Toujours selon De Spiegeleer, une seule entreprise propose une technologie comparable: la société canadienne 3terra. Le fait que Q-Layer se concentre uniquement sur des clients ‘service providers’ est également unique, selon Kristof De Spiegeleer.

La perspective que de gros acteurs du marché se lancent dans la virtualisation des centres de données n’angoisse pas Kristof De Spiegeleer. “Ils ne développeront pas eux-mêmes la technologie, mais rechercher des partenariats – ce qui ouvre de belles opportunités – ou acheter de petites entreprises.” Mais être la cible d’un rachat ne fait pas partie du plan. “Nous voulons nous-mêmes devenir une grande entreprise.” Q-Layer mise sur une croissance organique. Une première étape sera la désignation d’un CEO américain (De Spiegeleer deviendrait CTO) et l’ouverture d’un siège central dans la Silicon Valley. “A plus long terme, nous n’excluons pas une entrée en bourse.”

En 2007, le chiffre d’affaires devrait avoisiner 0,8 million EUR. “C’est supérieur à nos prévisions. Cette année, nous allons commencer à récolter.” Le chiffre d’affaires devrait déjà se situer entre 3 et 4 millions EUR pour 2008. “Une fois que nous aurons atteint notre rythme de croisière, d’ici 3 à 4 ans, nous visons un chiffre d’affaires proche des 50 millions EUR”, poursuit Kristof De Spiegeleer.

Nom: Q-Layer, [www.q-layer.com]Siège: LochristiFondation: 2005Effectifs: 35 personnesInvestissements et/ou subsides:- 2006: 1,4 million EUR (Big Bang Ventures)- 2007: 7 millions EUR (BBV, Wellington, Partech)

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