Une politique d’impression et de copie rationnelle pour réduire les coûts

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Le conseil ministériel fédéral a approuvé ce jeudi l’extension du projet d’une politique d’impression et de copie rationnelle au SPF Finances. Voilà ce qu’annonce Hendrik Bogaert, secrétaire d’Etat à la Fonction Publique et à la Modernisation des Services Publics.

Le conseil ministériel fédéral a approuvé ce jeudi l’extension du projet d’une politique d’impression et de copie rationnelle au SPF Finances. Voilà ce qu’annonce Hendrik Bogaert, secrétaire d’Etat à la Fonction Publique et à la Modernisation des Services Publics.

Le projet Papyrus II a pour but de réduire sensiblement le parc d’imprimantes et de copieurs et de diminuer le coût d’impression par page. Aux Finances, cela permettra en 2014 de réaliser une économie de 645.000 euros et en 2015 même d’un million et demi d’euros.

Le SPF Finances dispose de 24.000 imprimantes personnelles sur lesquelles le personnel imprime quotidiennement 26 pages. Aux Finances, les imprimantes classiques sont désormais sélectivement remplacées par des appareils multifonctions (impression, copie et scannage). Ceux-ci offrent un prix de revient à la page bien inférieur. Les nouveaux appareils sont installés en un point central et sont sécurisés: l’utilisateur doit s’identifier pour pouvoir imprimer. Son comportement d’impression peut ainsi être tracé, et les gros consommateurs peuvent être identifiés et invités à imprimer moins.

Le projet des Finances a déjà suscité l’intérêt des collègues de l’Intérieur, de la Mobilité, du Budget et du Contrôle de la Gestion. Le projet sera par conséquent étendu aux services publics sous l’appellation “Politique d’impression et de copie”. Concrètement, ces services pourront faire appel à l’expertise, au logiciel de monitoring et à l’architecture des serveurs d’impression des Finances. “Le respect des moyens disponibles est un fil conducteur de ma politique. Grâce à ce projet, nous permettons aux pouvoirs publics et au contribuable d’économiser très simplement beaucoup d’argent. Et nous réduisons ainsi aussi notre empreinte écologique”, conclut Bogaert.

Source: Belga

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