STS Group: grosse acquisition en vue

Marc Husquinet Rédacteur de Data News

Cotée depuis ce 22 février sur Alternext à Bruxelles, la française STS Group – spécialisée en solutions de confiance numérique – a vu son chiffre d’affaires multiplié par 5 l’an denier avec le rachat de Risc Group. Et pourrait à nouveau le multiplier par 3 sous peu. Chez nous, STS Group est connu pour son rachat en 2006 de Logon SI. Mais c’est surtout l’acquisition en 2010 de Risc Group moribond qui va donner un coup d’accélérateur majeur pour faire de STS Group une société au chiffre d’affaires proche de 100 millions EUR pour un résultat net part du groupe de 10 millions EUR. Et les ambitions ne s’arrêtent pas là…

Cotée depuis ce 22 février sur Alternext à Bruxelles, la française STS Group – spécialisée en solutions de confiance numérique – a vu son chiffre d’affaires multiplié par 5 l’an denier avec le rachat de Risc Group. Et pourrait à nouveau le multiplier par 3 sous peu.

Chez nous, STS Group est connu pour son rachat en 2006 de Logon SI. Mais c’est surtout l’acquisition en 2010 de Risc Group moribond qui va donner un coup d’accélérateur majeur pour faire de STS Group une société au chiffre d’affaires proche de 100 millions EUR pour un résultat net part du groupe de 10 millions EUR. Et les ambitions ne s’arrêtent pas là…

Au départ, la société se spécialise dans une solution de capture de l’information contenue dans les spools des applicatifs pour lui ajouter des attributs de preuve avant de les stocker afin de leur donner une force probante, la fameuse “confiance numérique”. Puis en 2006, elle rachète la belge Logon SI, spécialisée en archivage de gros volumes. Puis viendront s’ajouter Keyvelop en 2007 (échanges électroniques à valeur probante et certaine) et ipsCA en 2009 (signature électronique et traçabilité). Mais aussi et surtout en 2010 Risc Group, spécialisée en sauvegarde avec accès électronique direct vers 35.000 clients.

Désormais, STS Group se positionne comme développeur de solutions de confiance numérique “de bout en bout” et propose ses logiciels tant sous licence qu’en mode SaaS et cloud. Et vient de conclure avec Microsoft un accord mondial dans le cadre de l’offre Microsoft Office 365.

Mais le groupe n’entend s’arrêter en si bon chemin puisqu’il table sur une croissance annuelle de 25%. Mieux encore, son CEO Bernard Calvignac (ex-patron d’Econocom Belgique au début des années ’90) pourrait annoncer dans les prochaines semaines un rachat qui devrait “multiplier par 3 le chiffre d’affaires.” La cible? “Une société qui dispose d’un lien électronique avec ses clients.”

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