Quel avenir pour l’IT de Toyota Motor Europe?

Marc Husquinet Rédacteur de Data News

Après l’annonce d’un programme de départs volontaires qui devrait toucher la moitié environ des quelque 2.700 personnes employées en Belgique par Toyota Motor Europe, l’avenir des 134 informaticiens reste incertain. Dévoilé voici quelques semaines, le plan de restructuration de Toyota Motor Europe concerne dans notre pays 2.700 personnes, dont 1.200 environ au siège social d’Evere et 800 sur le site de Zaventem. L’entreprise envisage de se séparer de la moitié de son personnel, dans le cadre d’une procédure un peu particulière: il est demandé à chacun de se porter candidat à un départ volontaire dans des conditions spécifiques.

Après l’annonce d’un programme de départs volontaires qui devrait toucher la moitié environ des quelque 2.700 personnes employées en Belgique par Toyota Motor Europe, l’avenir des 134 informaticiens reste incertain.

Dévoilé voici quelques semaines, le plan de restructuration de Toyota Motor Europe concerne dans notre pays 2.700 personnes, dont 1.200 environ au siège social d’Evere et 800 sur le site de Zaventem.

L’entreprise envisage de se séparer de la moitié de son personnel, dans le cadre d’une procédure un peu particulière: il est demandé à chacun de se porter candidat à un départ volontaire dans des conditions spécifiques. Les candidatures seront communiquées à la direction en janvier prochain et les départs sont prévus à partir de février 2011. La direction précise, par la voix d’Etienne Plas, directeur de la communication, que “un peu moins de la moitié de ces 2.700 personnes pourront être candidates à ces départs volontaires” et que “le nombre de départs sera inférieur au nombre de candidats potentiels.”

Au niveau de l’informatique, TME emploie 134 informaticiens, dont la moitié est potentiellement candidate au départ, outre des consultants externes. “Le nombre de départs sera en tout cas limité à une petite fraction du nombre d’employés, étant donné que nous seront attentifs à assurer la continuité et le bon fonctionnement de nos activités”, poursuit Plas.

Update: Toyota tient à préciser: “L’article ‘Quel avenir pour l’IT de Toyota Motor Europe?’ donne une vision erronée de la situation dans notre entreprise. Le programme de départs volontaires annoncé récemment par notre entreprise est en effet beaucoup plus limité que ce que laisse entrevoir cet article, et ne menace en rien la poursuite de nos activités en Belgique.

Toyota Motor Europe emploie quelque 2.700 personnes en Belgique. Un peu moins de la moitié du personnel, correspondant aux employés du siège central à Evere et de certaines divisions (Achats, Production Engineering) du site de Zaventem, a la possibilité de se porter candidat à un départ volontaire. Cependant, Toyota veillera à assurer la continuité et le bon fonctionnement de nos activités, en vue de soutenir notre croissance future en Europe. En conséquence, le nombre de départs effectifs sera limité à une petite fraction (estimée entre 15% et 25%) du nombre d’employés dans les divisions concernées.”

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