NextiraOne se jette à l’eau

Luc Blyaert était rédacteur en chef de Data News

La Compagnie flamande des eaux (VMW, Vlaamse Maatschappij voor Watervoorziening) choisit NextiraOne pour son infrastructure de call center, de central téléphonique et de réseau de données. Soit un contrat sur 3 ans d’une valeur de 1,3 million EUR. Le 18 octobre, la VMW déménagera son siège central à la Gare du Nord de Bruxelles. Elle opte non seulement pour un environnement flexdesk, mais aussi une nouvelle plate-forme téléphonique. Le 5 centraux Philips arrivaient en effet en fin de vie. Le volet principal concerne le call center.

La Compagnie flamande des eaux (VMW, Vlaamse Maatschappij voor Watervoorziening) choisit NextiraOne pour son infrastructure de call center, de central téléphonique et de réseau de données. Soit un contrat sur 3 ans d’une valeur de 1,3 million EUR.

Le 18 octobre, la VMW déménagera son siège central à la Gare du Nord de Bruxelles. Elle opte non seulement pour un environnement flexdesk, mais aussi une nouvelle plate-forme téléphonique. Le 5 centraux Philips arrivaient en effet en fin de vie. Le volet principal concerne le call center.

La VMW dessert 2,6 millions de clients en Flandre. “Sur nos 1.500 collaborateurs, une trentaine travaillent dans 4 centre d’appels provinciaux. Finalement, nous avons choisi Genesys/Alcatel-Lucent”, explique Jan Hammenecker, directeur des systèmes d’information et de la communication.

L’intégrateur retenu est NextiraOne qui, en tant qu’ancienne filiale d’Alcatel, dispose de l’expertise nécessaire. Le contrat, extensible sur 9 ans, couvre également la téléphonie IP, le réseaux de données et le Lan sans fil. NextiraOne l’a emporté face à Nextel et Ferranti qui assurait déjà la transmission de données. Les autres concurrents étaient Belgacom et RealDolmen (qui gère les serveurs de la VWM). Ferranti avait remis offre avec Cisco qui essuie donc un nouvel échec.

La VMW a également sélectionné des postes téléphoniques fixes. “Le passage à un environnement paysager de type flexdesk constitue déjà un pas important. Nous ne passerons que plus tard à des softphones”, ajoute Jan Hammenecker.

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