Les universités de Mons et de Namur vont utiliser des superordinateurs plus performants

Hercules 2 © CECI
Pieterjan Van Leemputten

L’UNamur et l’UMons ont remplacé leur infrastructure existante par des machines plus rapides et plus économes en énergie.

L’université de Namur a remplacé son superordinateur Hercules par un modèle Hercules2. Ce dernier dispose de 1.024 CPU Epyc cadencés à 2 GHz et de 512 CPU SandyBridge à 2,2 GHz avec respectivement 64 Go et 2 To de RAM par noeud.

A Mons, il s’agit des Dragon 1 & 2. Le premier existait depuis assez longtemps déjà et tourne sur 416 coeurs Sandy Bridge (2,60 GHz) avec 128 Go par noeud. La Dragon 2 est, lui, nouveau et est équipé de 592 CPU SkyLake (2,60 GHz) avec de 192 à 384 Go de RAM par noeud.

Ces machines proviennent de DELL EMC avec NTT Belgium (ex-Dimension Data) comme intégrateur. Dans les deux cas, une seule adjudication avait été élaborée, qui a été remportée par NTT, parce qu’elle était à même de fournir la puissance de calcul la plus élevée au prix le plus bas.

Les ordinateurs font partie du Consortium des Equipements de Calcul Intensif (CECI), une collaboration entre cinq universités au sein de la Fédération Wallonie-Bruxelles. En fonction de la recherche envisagée par quelqu’un, il faut recourir à des machines caractérisées soit par une plus grande puissance de calcul, soit par une mémoire de travail supérieure, soit encore par un autre équipement spécifique. Voilà pourquoi les clusters sont partagés entre les instituts de recherche.

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