Les PME belges à peine assurées contre l’e-criminalité

Pieterjan Van Leemputten

La plupart des PME belges ne sont pas assurées contre les conséquences financières de l’e-criminalité. A peine cinq pour cent d’entre elles ont souscrit une assurance de ce genre.

La plupart des PME belges ne sont pas assurées contre les conséquences financières de l’e-criminalité. A peine cinq pour cent d’entre elles ont souscrit une assurance de ce genre.

Telle est l’observation du courtier d’assurances ADD qui a effectué l’été dernier un sondage téléphonique auprès de 884 entreprises dans différents secteurs. Les entreprises ne sont pas souvent conscientes ni des dangers d’une cyber-intrusion, ni des effets financiers que celle-ci entraîne. Les PME estiment aussi souvent que la cybercriminalité ne touche que les grandes sociétés ou qu’elles sont couvertes par des assurances incendie ou perte d’exploitation.

ADD n’a évidemment pas effectué ce sondage par hasard. Le courtier a en fait mené cette enquête pour promouvoir sa police d’assurance pour PME contre les conséquences des cyber-délits. Cette police tient aussi compte de la perte de chiffre d’affaires et des coûts en termes de relations publiques en cas d’attaques de hackers.

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