“Les Belges pas trop soucieux des limites de téléchargement”

7 Belges sur 10 n’ont aucune idée de la quantité de données qu’ils téléchargent chaque mois, selon une étude de marché. Scarlet espère ainsi présenter un nouveau point de vue dans le débat sur les limites de téléchargement.

7 Belges sur 10 n’ont aucune idée de la quantité de données qu’ils téléchargent chaque mois, selon une étude de marché. Scarlet espère ainsi présenter un nouveau point de vue dans le débat sur les limites de téléchargement.

Scarlet, filiale de Belgacom, a demandé à l’enquêteur de marché en ligne iVox de déterminer la connaissance des Belges en matière de consommation internet propre. Car, poursuit le raisonnement de Scarlet, cela fait déjà un certain temps qu’on appelle à supprimer les limites de téléchargement. Ce débat a récemment conduit au lancement de quelques formules illimitées.

A présent, il appert de l’étude menée par iVox-Scarlet que seuls 3 Belges sur 10 savent combien ils téléchargent en moyenne chaque mois. Parmi ceux qui savent, 70 pour cent déclarent que leur consommation est inférieure à 25 Go. 9 pour cent consomment plus de 50 Go. 1 Belge sur 4 ne sait par ailleurs pas ce que représente le Go (ou le Mo).

4 Belges sur 10 pensent avoir besoin de plus de volume, indique encore l’enquête. Une autre tranche de 40 pour cent ne sait pas ce qu’elle va consommer à l’avenir. 80 pour cent des personnes interrogées optent pour un tarif ‘all-in’, mais 60 pour cent sont intéressés par une formule en fonction de la consommation (avec à la clé une facture maximale égale à leur facture actuelle).

“Tout ce débat sur les limites de téléchargement n’est pas quelque chose qui empêche le Belge de dormir”, affirme Scarlet dans un communiqué de presse. “Nous sommes convaincus que le consommateur veut un rendement maximal pour son argent, à savoir une offre sans fioritures au prix le plus avantageux possible.”

En outre, il ressort que 67 pour cent des personnes interrogées disposent d’un réseau sans fil et qu’1 sur 10 dans ce groupe n’est pas protégée. Scarlet a posé la question de savoir si les surfeurs accepteraient un contrôle de leur utilisation d’internet, s’il s’agissait de lutter contre les pratiques illégales. Une minorité – 42 pour cent – serait d’accord. Et si cela allait de pair avec une réduction des coûts, 44 pour cent seraient d’accord. Il n’y a que si le contrôle servait de protection qu’une majorité de 54 pour cent l’accepterait.

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