Les 5 principales contrariétés ICT

Stefan Grommen Stefan Grommen est rédacteur de Data News.

Selon une enquête réalisée par RES Software, les départements IT consacrent en moyenne plus de la moitié de leur temps à des tâches de gestion routinières. L’entreprise cite du reste 5 tâches ‘aisément automatisables’ qui constituent une sérieuse source de contrariété pour les informaticiens.

Selon une enquête réalisée par RES Software, les départements IT consacrent en moyenne plus de la moitié de leur temps à des tâches de gestion routinières. L’entreprise cite du reste 5 tâches ‘aisément automatisables’ qui constituent une sérieuse source de contrariété pour les informaticiens.

1. Création de nouveaux utilisateursLorsque de nouveaux collaborateurs sont engagés ou en raison de changements internes, il s’agit de créer de nouveaux comptes d’utilisateur (user accounts). Il s’agit là d’un travail aisé, mais ennuyeux. En outre, le suivi prend pas mal de temps, par exemple suite aux modifications des droits d’utilisateur ou à la restauration de paramètres fautifs.

2. Installation de logicielsLorsque le département IT ne dispose pas de la possibilité de gérer les ordinateurs en un point central, l’administrateur IT doit, lors de chaque nouvelle installation ou actualisation de logiciel, passer en revue tous les postes de travail pour y effectuer les mêmes opérations. Ce faisant, le risque d’erreurs (comprenez de travail supplémentaire) est grand.

3. Inventaire du matériel et des logicielsPour bien contrôler les dépenses IT, il est important de faire régulièrement un tour d’horizon des logiciels et du matériel installés. Il s’agit là d’une tâche fastidieuse que l’administrateur IT n’aime en général pas, mais qu’il doit fréquemment réaliser.

4. Hardware & software queryUn élément important de l’analyse des problèmes de logiciel et de matériel, c’est la comparaison de différents systèmes. Un travail absorbant qui ne plait guère à l’administrateur IT.

5. Réamorçage planifiéIl s’avère parfois nécessaire d’éteindre temporairement les serveurs, puis de les relancer. Mais pour assurer les services, un nombre minimal de serveurs doivent continuer à tourner. Le réamorçage (reboot) manuel est un cas typique de perte de temps superflue.

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