L’externalisation ICT populaire certes, mais pas trop

Guy Kindermans Rédacteur de Data News

La sous-traitance des activités ICT semble aujourd’hui bien entrée dans les moeurs.

La sous-traitance des activités ICT semble aujourd’hui bien entrée dans les moeurs. De la gestion et de l’exploitation des éléments d’infrastructure ICT tels les serveurs, les réseaux, le stockage, etc. jusqu’au développement et à la mise en oeuvre d’applications, outre l’assistance et d’autres services de support: au cours des dernières années, pratiquement toutes les entreprises y ont acquis de l’expérience.

Voilà ce qui ressort d’un sondage réalisé par Fujitsu et Data News auprès des entreprises belges à propos de leur expérience en matière d’externalisation. Quasiment 60% des participants font déjà appel en tout ou en partie à l’externalisation ICT sous l’une ou l’autre forme, ou envisagent à tout le moins de le faire.

Cela ne signifie pas non plus que cette pratique est acceptée partout pour argent comptant. En effet, il apparaît aussi qu’un bon tiers des participants au sondage n’a aucun projet dans ce sens. Ils craignent entre autres un manque de gouvernance et la perte de collaborateurs-clés en cas d’externalisation. Et bien qu’un autre bon tiers des participants ait une expérience positive à très positive en la matière, plus de 20% indiquent aussi avoir eu une expérience négative. Qui plus est, quelque 12% ont déjà résilié anticipativement un contrat d’externalisation.

Lors d’une table ronde (cf. Data News de cette semaine), cet aspect et d’autres de l’externalisation ICT ont été approfondis, en ce compris les raisons pour lesquelles l’externalisation est envisagée, à quoi il convient de faire attention, etc.

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