L’entreprise canadienne CGI s’intéresse à Logica

Stefan Grommen Stefan Grommen est rédacteur de Data News.

1,7 milliard de livres, soit 2,1 milliards d’euros environ, telle est la somme que le fournisseur canadien de services IT CGI Group accepte de verser pour acquérir Logica. Le conseil d’administration de Logica conseille aux actionnaires d’accepter cette offre ‘correcte et raisonnable’. Le montant de rachat – 105 pence par action – constitue un bonus de quelque 60 pour cent par rapport au cours de clôture d’hier. Chez nous, CGI n’est guère connue, mais il n’empêche que cette société enregistre au niveau mondial un chiffre d’affaires de 4,3 milliards de dollars et qu’elle a réalisé en 2001 un bénéfice net de 435,1 millions de dollars. Elle occupe 31.000 personnes, surtout en Amérique du Nord (Canada et Etats-Unis). 2.500 d’entre elles sont actives en Europe.

1,7 milliard de livres, soit 2,1 milliards d’euros environ, telle est la somme que le fournisseur canadien de services IT CGI Group accepte de verser pour acquérir Logica.

Le conseil d’administration de Logica conseille aux actionnaires d’accepter cette offre ‘correcte et raisonnable’. Le montant de rachat – 105 pence par action – constitue un bonus de quelque 60 pour cent par rapport au cours de clôture d’hier.

Chez nous, CGI n’est guère connue, mais il n’empêche que cette société enregistre au niveau mondial un chiffre d’affaires de 4,3 milliards de dollars et qu’elle a réalisé en 2001 un bénéfice net de 435,1 millions de dollars. Elle occupe 31.000 personnes, surtout en Amérique du Nord (Canada et Etats-Unis). 2.500 d’entre elles sont actives en Europe. CGI est cependant aussi présente en Belgique avec 12 personnes qui réalisent un demi-million d’euros de chiffre d’affaires. Par comparaison, Logica Belgique, dirigée depuis peu par Hans Vets, occupe 300 personnes pour un chiffre d’affaires de quelque 50 millions d’euros.

Logica même est un géant des services IT avec un chiffre d’affaires de 3,9 milliards de livres (4,9 milliards d’euros) et 42.000 collaborateurs dans le monde, mais qui connaît certaines difficultés ces dernières années. En décembre 2011, l’entreprise annonçait encore une restructuration entraînant la perte de 1.300 emplois, dont quelques centaines au Benelux dans le courant de cette année.

Si ce rachat est approuvé, il pourrait être entériné en septembre déjà.

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