Un nouveau consortium de plusieurs grands acteurs technologiques veut veiller à ce que les appareils de l’ère de l’internet des objets puissent communiquer entre eux de façon optimale.
Un nouveau consortium de plusieurs grands acteurs technologiques veut veiller à ce que les appareils de l’ère de l’internet des objets puissent communiquer entre eux de façon optimale.
L’Open Interconnect Consortium se compose d’Amtel, Broadcom, Dell, Intel, Samsung et Wind River, et vise à établir les exigences de connectivité en vue de l’interopérabilité et du fait que des milliards d’appareils seront concernés dans le monde.
L’organisation publiera ses spécifications sous la forme de matériel open source et elle veut un programme de certification pour les appareils sans fil offrant des possibilités de connectivité.
Les partenaires impliqués investiront eux-mêmes des moyens dans le développement de protocoles. Il s’agira d’une combinaison de normes sans fil existantes et de la compatibilité avec des nouvelles possibilités en combinaison avec une large gamme de systèmes d’exploitation. La première priorité portera sur les appareils à la maison et au bureau.
L’Internet des objets est le nom générique des milliards d’appareils qui communiqueront bientôt via l’internet. Mais il englobe aussi les capteurs (intégrés ou non dans des appareils) qui transmettent des données notamment via Bluetooth, NFC ou d’autres technologies.
Bien que l’organisation compte plusieurs grands noms, on remarquera aussi l’absence de grands acteurs comme des spécialistes réseau tels que Cisco, Huawei, Ericsson ou encore des entreprises comme Google, Apple ou Microsoft. Mais l’Open Interconnect Consortium indique toutefois qu’il s’attend à ce que d’autres partenaires le rejoignent dans les mois à venir, parmi lesquels des constructeurs de jeux de puces, des fabricants d’appareils et des fournisseurs de services.
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