‘Anvers est le deuxième concentrateur d’impression 3D au monde’

. © Reuters

Après Amsterdam, Anvers est le deuxième endroit au monde, où les particuliers peuvent trouver rapidement une imprimante locale pour leurs projets d’impression 3D.

Voilà ce qu’on a appris hier mardi lors de la présentation officielle des installations anversoises où cela est rendu possible. Outre un forfait de départ, les utilisateurs doivent compter sur un coût de 0,40 euro par cm³.

A Amsterdam, quiconque veut faire imprimer un concept 3D, a déjà le choix parmi quinze endroits ou hubs, soit chez des particuliers, soit dans des entreprises, où se trouve une imprimante 3D. Ce mardi, Anvers est devenue le deuxième endroit du genre au niveau mondial.

Croissance exponentielle
“Anvers est un foyer pour l’industrie créative”, déclare Deepak Mehta, co-initiateur. “L’on y trouve déjà un certain nombre d’imprimantes 3D. Tout le monde peut à présent s’adresser à seize adresses pour faire imprimer un concept.”

Selon Mehta, il s’agit là d’une sorte de production décentralisée d’ustensiles avec de fortes implications possibles pour les chaînes de distribution. “Chacun peut maintenant confronter son idée à la réalité”, ajoute Mehta.

“L’impression 3D commence à croître de manière exponentielle”, explique Brian Garret de l’entreprise 3D HUB. “Tout qui a un concept, doit compter sur un forfait de départ de 5 euros, plus un coût de 40 cents par centimètre cube imprimé.”

Impression d’armes à feu

L’impression 3D a récemment encore défrayé la chronique, parce qu’aux Etats-Unis, l’on a vu apparaître en ligne les plans d’impression d’une arme opérationnelle. Le concept a cependant été rapidement mis offline. (Belga/TV)

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