Une action des informaticiens d’ArcelorMittal Gand à Luxembourg
Demain jeudi, les informaticiens d’ArcelorMittal Gand se rendront au siège principal européen du géant de l’acier à Luxembourg, pour y mener une action lors du conseil d’entreprise. Ils protestent contre l’accord d’externalisation conclu entre Arcelor Mittal et CSC. Bien que ce contrat soit une affaire entendue, les projets d’ArcelorMittal de confier à CSC l’infrastructure IT au niveau européen (la gestion et la maintenance des centres de données, serveurs, PC, réseaux, de la sécurité,…) vont être présentés au conseil d’entreprise. En tout, ce sont quasiment 500 postes de travail qui sont visés, dont 37 à Gand, compte non tenu des externes.
Demain jeudi, les informaticiens d’ArcelorMittal Gand se rendront au siège principal européen du géant de l’acier à Luxembourg, pour y mener une action lors du conseil d’entreprise. Ils protestent contre l’accord d’externalisation conclu entre Arcelor Mittal et CSC.
Bien que ce contrat soit une affaire entendue, les projets d’ArcelorMittal de confier à CSC l’infrastructure IT au niveau européen (la gestion et la maintenance des centres de données, serveurs, PC, réseaux, de la sécurité,…) vont être présentés au conseil d’entreprise. En tout, ce sont quasiment 500 postes de travail qui sont visés, dont 37 à Gand, compte non tenu des externes.
Il y a deux semaines, les syndicats ont déjà manifesté devant les portes de l’entreprise, parce qu’ils n’acceptent pas que les 37 membres du personnel concernés doivent rejoindre CSC sans la moindre forme de concertation sociale.
“Nous allons l’expliciter demain lors du nouveau comité d’entreprise européen”, déclare Rony Schatteman au nom du front commun syndical. “Le hic, c’est surtout le fait que ces personnes sont mises devant le fait accompli. En outre, nous risquons ainsi aussi de perdre pas mal de connaissance et d’expérience à cause de cet accord d’externalisation.”
Une mini-délégation sera reçue demain à 11 heures à Luxembourg. Elle sera composée de quatre représentants syndicaux français et de huit délégués belges, dont quatre gantois. Si les griefs ne trouvent pas d’écho, de nouvelles actions sont attendues.
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