Skelia veut cette année doubler de volume en Pologne
Cet été, Skelia ouvrira pour la troisième fois une filiale en Pologne. Le ‘nearshorer’ entend y doubler sa présence cette année déjà.
Il y a deux ans, l’entreprise faisait son entrée en Pologne, où elle occupe actuellement 50 personnes. Mais les bureaux actuels ne suffisent plus. “Nous tablons sur un doublement de volume en Pologne rien que sur cette année. Les nouveaux bâtiments pourront accueillir 150 collaborateurs, un nombre que nous espérons atteindre d’ici d’eux ans”, explique le fondateur et CEO Patrick Vandewalle. Les activités polonaises de Skelia sont dirigées par Olivia Vandesande.
La nouvelle filiale, située à proximité de Krakow, remplacera la précédente et ouvrira ses portes en juin. Outre en Pologne, l’entreprise est également active à Kiev et à Lviv (Ukraine). En tout, elle occupe aujourd’hui quelque 200 personnes. Elle possède aussi des bureaux à New York et Palo Alto, qui se focalisent plutôt sur les contacts avec la clientèle.
L’entreprise Skelia ne se concentre pas tant sur des domaines technologiques, mais bien sur la mise en oeuvre d’équipes locales. Les clients peuvent s’y adresser, s’ils veulent démarrer une activité en Pologne ou en Ukraine et ensuite engager le personnel formé. “La plupart de nos clients développent la connaissance voulue au sein d’une équipe. Il est donc normal qu’ils veuillent ensuite la garder chez eux.”
Voilà aussi pourquoi Vandewalle ne considère pas vraiment son entreprise comme une firme IT. “Nous nous focalisons sur la constitution de teams et de structures organisationnelles”, explique Vandewalle. “Cela signifie aussi que nous ciblons fortement la correspondance culturelle. Un développeur Java se sentira mieux chez tel client par rapport à tel autre. Nos candidats savent par conséquent souvent avant même qu’ils débutent chez nous, pour quel client ils travailleront.”
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