L’informaticien boit à cause du stress
Un informaticien qui souffre de stress, tombe facilement dans la boisson. Voilà ce qui ressort d’une étude réalisée par le Chartered Institute of Personnel and Development (CIPD). Les analystes invitent dès lors les employeurs à élaborer des directives strictes à propos de l’usage de l’alcool.
Un informaticien qui souffre de stress, tombe facilement dans la boisson. Voilà ce qui ressort d’une étude réalisée par le Chartered Institute of Personnel and Development (CIPD). Les analystes invitent dès lors les employeurs à élaborer des directives strictes à propos de l’usage de l’alcool.
Selon les chercheurs, qui ont interrogé des travailleurs en Grande-Bretagne, les informaticiens boivent chaque semaine 34 verres de boissons alcoolisées. C’est moins que les 44 verres qu’engloutissent les travailleurs des secteurs des médias et des loisirs, mais plus que les 29 verres de bière ou de vin consommés par le personnel des secteurs de la finance ou de l’immobilier.Pour le CIPD, les hommes consommeraient 28 boissons alcoolisées par semaine contre 21 pour les femmes.
Pression de groupe
C’est surtout la pression de groupe et l’organisation régulière de ‘drinks’ sur les lieux de travail qui engendreraient la forte consommation de boissons. Le stress lui aussi renforce le besoin en alcool, selon les enquêteurs du CIPD.Ben Willmott, conseiller stratégique au CIPD: “Les employeurs doivent élaborer des directives en matière d’utilisation de l’alcool. Ces règles doivent démontrer que l’usage de l’alcool, qui influence négativement les activités, ne peut être toléré.”
Des résultats d’autres études, il apparaît aussi que les informaticiens boivent volontiers. C’est ainsi que Norwich Union Healthcare a effectué il y a un an une étude sur l’usage de l’alcool par les travailleurs. Des résultats obtenus, il apparaissait que les gens travaillant dans l’automatisation aiment la dive bouteille, puisque 15 pour cent d’entre eux seraient déjà venus travailler en état d’ébriété. Plus d’un tiers avait des problèmes de concentration, alors qu’un deuxième groupe (35 pour cent) était moins productif et qu’un peu moins d’un quart se sentait fatigué à cause de la boisson.
En outre, un site web d’offres d’emploi américain a indiqué qu’un travailleur sur quatre, quelle que soit sa branche d’activités, a consommé au moins une fois de l’alcool sur son lieu de travail.
Source: Computable
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