Filip Michiels, le nouveau CIO de TUI Belgium
Filip Michiels est depuis la semaine dernière le nouveau CIO de TUI Belgium (Jetair, Jetaircenter, Jetairfly, Tec4Jets). “Le groupe dispose actuellement d’une trentaine de centres de données en Europe. Une consolidation s’impose donc.”
Filip Michiels est depuis la semaine dernière le nouveau CIO de TUI Belgium (Jetair, Jetaircenter, Jetairfly, Tec4Jets). “Le groupe dispose actuellement d’une trentaine de centres de données en Europe. Une consolidation s’impose donc.” Après ses études, Filip Michiels (43 ans) commence à travailler pour le groupe américain de cosmétiques Estée Lauder. Au sein du département software international supportant les filiales de vente, il assume différents rôles et fonctions et ce, 14 années durant.
En 2007, Michiels décide de rejoindre le groupe RH belge HDP & AristA, où on lui confie la mission de développer une organisation IT de support de l’ensemble des 12 entités du groupe.
Sur un marché très compétitif, il élabore une politique IT orientée client et est aussi à la base d’un plan pluriannuel facilitant la fusion avec l’entreprise homologue Partena.
Après un bref passage au sein de la multinationale Lanxess (chimie), Filip fait connaissance avec le secteur des voyages. En tant que directeur IT chez l’éditeur de logiciels ‘booking-engine’ Gateway, il mène à bien plusieurs projets importants avec son équipe.
Aujourd’hui, Michiels est actif chez Jetair. “J’y serai responsable des activités en Belgique, mais je devrai aussi envisager des liens de collaboration avec d’autres pays en dehors de l’Europe”, explique-t-il.
“La semaine dernière, l’on a annoncé que notre CEO sera également responsable de TUI Netherlands. Je m’attends donc à ce que sur le plan IT, l’on collabore aussi activement avec nos voisins du nord.”
“De toute façon, l’objectif est d’arriver à une coopération étroite entre les pays européens”, ajoute-t-il encore. “De nous, l’on attend un rôle en vue dans ce processus. Nous devons par exemple rechercher activement des synergies dans le ‘back end’ et dans le ‘front end’. Car d’un CIO chez TUI, l’on attend vraiment qu’il fasse la différence vis-à-vis du client. Il n’est pas question qu’il se tourne uniquement vers le ‘backoffice’.”
“Si je ne me trompe pas, TUI a en Europe aussi une trentaine de centres de données à son actif. C’est évidemment beaucoup trop. Une consolidation s’impose donc ou à tout le moins une migration d’une partie de ces centres dans le nuage.”
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