Sega va se séparer de quelque sept pour cent de ses effectifs, principalement dans son département européen.
Selon Eurogamer, qui a pu consulter une note interne de l’entreprise, il est principalement question de licenciements chez Sega Europe et au studio britannique Creative Assembly. Ce dernier est surtout connu pour la série de jeux Total War. Même si des collaborateurs devront également s’en aller chez Sega Hardlight.
Parallèlement à la vague de licenciements, Relic, un studio de jeux de Vancouver au Canada, est également revendu à un investisseur anonyme. 121 personnes y avaient été licenciées l’année dernière déjà.
Sega cite l’évolution rapide du paysage financier et l’inflation pour expliquer les licenciements, mais l’entreprise souligne également une baisse de la demande en comparaison avec la période du corona.
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