Vous avez dit “dette technique”?
Si, lors du développement d’une application, vous ne prenez pas d’emblée en compte la qualité totale, vous risquez de devoir subir, tout au long du cycle de vie de cette application, des coûts supplémentaires …
Si, lors du développement d’une application, vous ne prenez pas d’emblée en compte la qualité totale, vous risquez de devoir subir, tout au long du cycle de vie de cette application, des coûts supplémentaires que ce soit pour corriger des bugs ou la sécurité, pour assurer le support ou le helpdesk (d’un programme défectueux), etc., sans parler notamment des coûts cachés liés à une performance insuffisante de l’application ou à une documentation déficiente.
C’est ce que les experts appellent la “dette technique”. Une dette évaluée par Gartner à environ 500 milliards $ à l’échelle mondiale. De son côté, la société Cast Software (spécialisée en qualité logicielle des applications de gestion) a estimé qu’une société de taille moyenne dépensait plus de 1 milllion $ par an en dette technique, sur base d’une étude menée auprès de 75 sociétés dans le monde exploitant 108 millions de lignes de code. Les conclusions de cette année sont consolidés dans un référentiel de données, baptisé Appmarq, qui permet à une entreprise de comparer la qualité de ses développements à ceux de ses pairs (de manière anonyme évidemment).
De même, Cast vient de publier un rapport “Mesurez et gérez votre dette informatique” qui permettra au département IT de justifier, chiffres à l’appui, la nécessité d’une approche d’amélioration des processus, des plates-formes et du personnel associés au logiciel.
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