Sony met Waterloo sous surveillance
Six caméras de surveillance permettent depuis peu d’améliorer la sécurité au carrefour très fréquenté entre la chaussée de Bruxelles et la rue de la Station à Waterloo. Les soirs de week-end, des jeunes s’y rassemblent en effet dans les cafés des environs, parfois par centaines, ce qui pouvait provoquer certains problèmes.
Six caméras de surveillance permettent depuis peu d’améliorer la sécurité au carrefour très fréquenté entre la chaussée de Bruxelles et la rue de la Station à Waterloo. Les soirs de week-end, des jeunes s’y rassemblent en effet dans les cafés des environs, parfois par centaines, ce qui pouvait provoquer certains problèmes.
Grâce à un simple écran de PC, la police peut désormais surveiller jour et nuit les agissements de ces jeunes. L’infrastructure (les caméras PTZ et le logiciel de Sony, le réseau Wi-Fi d’Alvarion et le serveur de HP) aura coûté à la commune un peu plus de 75.000 EUR. Mais le réseau privé sans fil est cependant sensiblement moins coûteux qu’une fibre optique, sans parler de l’abonnement internet à payer à Belgacom par caméra.
Pour le réseau Wi-Fi, le choix s’est porté sur les antennes Breezeaccess. Le corps de police peut choisir entre un débit de 6 ou de 20 Mbit/s, mais selon Chris Vandebrouck, une vitesse de 1 Mbit/s par caméra est largement suffisante. Les caméras à zoom optique 36x offrent des images très précises à un débit de trames de 10 images par seconde.
L’intérêt des caméras de surveillance de Sony est leur capacité à restituer l’environnement de manière intelligente: ainsi, lorsqu’une personne reste trop longtemps sur un parking par exemple ou lorsqu’une voiture se situe hors d’une zone prédéfinie, la caméra peut envoyer un signal spécifique. Les surveillants peuvent régler jusqu’à 6 analyses de contenu différentes.
Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici