SEPA trop tard,mais…
Si vous n’avez pas encore adapté vos systèmes informatiques et vos processus à la future réglementation SEPA (Single Euro Payments Area), il est grand temps de commencer à y penser. L’échéance est fixée au 1er février 2014.
Si vous n’avez pas encore adapté vos systèmes informatiques et vos processus à la future réglementation SEPA (Single Euro Payments Area), il est grand temps de commencer à y penser. L’échéance est fixée au 1er février 2014.
Alors que l’euro visait à la création d’un espace européen unique pour l’argent liquide, la réglementation SEPA entend mettre en place un système de paiements scripturaux dans 32 pays européens. Sont donc visés tant les virements que les domiciliations, outre à terme les cartes de débit.
Au 1er février 2014, toutes les entreprises et les consommateurs de la zone SEPA devront donc satisfaire aux dispositions de SEPA qui impliquent notamment le recours à la numérotation IBAN en remplacement du fameux code 3-7-2 en vigueur chez nous. De même, la domiciliation change de forme pour s’harmoniser entre les pays.
Ces nouvelles dispositions impliquent des adaptations dans les plates-formes informatiques des entreprises et des processus organisationnels. D’où l’idée lancée par Trasys, intégrateur de services informatiques qui propose une solution SEPA (en partenariat non-exclusif avec Sentenial, avec comme première référence Axa Belgium), de combiner la migration IT à une dimension d’innovation. “Ce n’est pas une solution purement informatique, mais transversale. Axa l’envisage comme un projet métier et organisationnel”, a expliqué Frédéric Meskens, business architect, au cours d’un récent séminaire qui a réuni 6 des 8 principaux assureurs et 4 des 5 grandes banques du pays à l’initiative de Trasys. La société propose une offre modulaire de services d’analyse d’impact et de sensibilisation, d’implémentation (build ou buy & integrate, avec phasing-out des systèmes hérités) et test (avec un outil maison).
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