Pourquoi vaut-il mieux éviter de licencier l’employé(e) qui gère votre compte Twitter
Le directeur d’un restaurant d’Oxfordshire en Grande-Bretagne a récemment licencié son chef-coq, mais avait oublié que c’était lui qui gérait la page Twitter de l’établissement…
Jim Knight, le chef-coq de 28 ans du restaurant The Plough situé dans la ville britannique d’Oxfordshire, vient d’être mis à la porte. Il n’était cependant pas d’accord avec les raisons de ce licenciement et a utilisé la page Twitter de The Plough, qu’il gérait encore et toujours, pour casser du sucre sur le dos de son ex-employeur.
“Nous souhaitons vous faire savoir que nous venons de licencier notre chef-coq”, a tweeté Knight au nom de The Plough. “Il voulait prendre congé le jour de Noël pour raisons familiales, et nous avons donc estimé que nous devions le virer. Oui, une semaine avant Noël! Nous ne nous soucions pas qu’il a une petite fille de 7 mois et demi”, poursuit Knight. “Quoi qu’il en soit, venez donc au restaurant et payez le prix fort pour du faux-filet australien, de l’agneau néo-zélandais et divers autres mets achetés au supermarché Asda. Joyeux Noël à tous!!!!!!”
Jim Knight déclare ne pas avoir piraté le compte Twitter de The Plough car il l’a créé autrefois lui-même avec l’assentiment de ses ex-collègues.
Les tweets ont fait l’objet d’énormément de réactions et ont amené un nombre record de visiteurs sur le site web de The Plough, selon le journal britannique The Independent. Question: la publicité négative est-elle aussi de la publicité?
Tout s’est bien terminé pour Jim Knight: “Peu après cette tempête sur Twitter, j’ai reçu une offre très sympa pour un emploi sérieux”, a-t-il encore posté sur le site de microblogging.
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