Le média social a commencé à déployer des vérifications. Les cases à cocher sont censées indiquer que le compte d’une personne connue ou d’une organisation plutôt grande est légitime.
Dans une première phase, Bluesky collaborera avec des ‘vérificateurs de confiance’, à savoir des organismes indépendants capables de contrôler certains membres. Pensez par exemple à une grande organisation qui coche la case de son équipe de relations publiques, afin que vous sachiez qu’elle est une source officielle d’informations sur la marque. L’équipe de modération de Bluesky vérifiera si les comptes sont bien ceux qu’ils prétendent être.
Avec ses vérifications, Bluesky en revient donc au système original de coches sur Twitter. En offrant par exemple aux célébrités et aux grandes entreprises une coche de vérification, le système visait à contenir la désinformation. Les coches ont rendu plus difficile pour les farceurs de se faire passer pour un acteur célèbre notamment (et d’essayer ensuite de vendre des crypto-monnaies). Twitter, désormais rebaptisée X, a remplacé ces dernières années son système de vérification par un système payant qui, selon les critiques, a beaucoup moins d’impact sur la désinformation.
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