NRB veut devenir belgo-flamande
Pour son exercice fiscal 2011, le groupe belge NRB, spécialisé en outsourcing et en gestion de projets, a réalisé un chiffre d’affaires consolidé de 181,9 millions EUR, contre 185,5 millions EUR un an plus tôt. Il a par ailleurs dégagé un bénéfice d’exploitation de 16,7 millions EUR, contre 20,5 millions EUR en 2010, soit un EBIT de 11%, contre 9,1% l’année précédente. Les effectifs sont passés de 884 à 930 personnes.
Pour son exercice fiscal 2011, le groupe belge NRB, spécialisé en outsourcing et en gestion de projets, a réalisé un chiffre d’affaires consolidé de 181,9 millions EUR, contre 185,5 millions EUR un an plus tôt. Il a par ailleurs dégagé un bénéfice d’exploitation de 16,7 millions EUR, contre 20,5 millions EUR en 2010, soit un EBIT de 11%, contre 9,1% l’année précédente. Les effectifs sont passés de 884 à 930 personnes.
Commentant ces chiffres, le nouveau directeur général Ulrich Penzkofer (qui a remplacé voici 2 mois le patron “historique” du groupe, Guy Uerlings), parle d’une “bonne année en général” et de “chiffres supérieurs au budget”. L’année écoulée a été marquée par la création de Xperthis, issue du rachat et de la fusion fin septembre dernier de Partezis, Polymedis et Xtenso. De même, l’année 2011 a été marquée par plusieurs belles références comme FMSA (12 millions EUR), P&V Assurances et Partena. Même si Ethias représente toujours la moitié environ du chiffre d’affaires.
D’ici 2015, NRB entend renforcer sa position de n° 3 sur le marché (avec 4% de parts de marché, derrière IBM et HP), notamment en s’étendant vers la Flandre où la société va construire un datacenter et envisage des rachats de petites ou moyennes structures. “Nous sommes le seul acteur exclusivement belge dans l’outsourcing et nous entendons tirer parti de cet atout”, insiste Penzkofer qui voit également sa société investir dans des forces commerciales (notamment en Flandre) et cibler davantage le secteur industriel.
Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici