Naissance d’un nouveau capital-risqueur belge
‘Sniper Investments’, tel est le nom du nouveau fonds de capital-risque qui se concentrera surtout sur le secteur technologique. Ce fonds malinois a été créé par des personnes expérimentées du monde du capital -risque, à savoir Bart Luyten, Luc Synaeghel et Willem Prinselaar. Luyten fut entre autres Investment Director de Partners At Venture, Managing Partner de Privast Capital Partners et General Partner de Bams Angels Fund. Synaeghel est le fondateur et Managing Director de Partners At Venture, CEO du fonds d’actions Sniper One, chief investment officer de la Banque Thaler installée à Genève. Prinselaar est pour sa part
‘Sniper Investments’, tel est le nom du nouveau fonds de capital-risque qui se concentrera surtout sur le secteur technologique. Ce fonds malinois a été créé par des personnes expérimentées du monde du capital -risque, à savoir Bart Luyten, Luc Synaeghel et Willem Prinselaar.
Luyten fut entre autres Investment Director de Partners At Venture, Managing Partner de Privast Capital Partners et General Partner de Bams Angels Fund. Synaeghel est le fondateur et Managing Director de Partners At Venture, CEO du fonds d’actions Sniper One, chief investment officer de la Banque Thaler installée à Genève. Prinselaar est pour sa part co-fondateur et Managing Partner de Privast Capital Partners.
Comme on peut le lire dans un communiqué de presse, Sniper Investments tente de réunir un fonds de quelque 25 millions d’euros maximum, de l’argent issu surtout d’investisseurs particuliers et d’entrepreneurs.
A l’entendre, ce fonds recherchera des possibilités d’investissements “sur des trajets aller et retour de maximum 1 journée au départ des bureaux de Malines” et caractérisés par un fort potentiel de création de valeur, principalement dans l’ICT, le high-tech, le med-tech, les nouveaux matériaux et les industries apparentées, mais aussi dans les secteurs professionnels ‘plus classiques’. Selon le communiqué de presse, les fondateurs entendent “essayer d’imposer de nouvelles tendances” et “éviter les secteurs en vogue du moment”.
Tant les entreprises matures que débutantes pourront être prises en considération. Dans le dernier cas, il s’agira d’entreprises “qui en ont terminé avec la phase de démarrage, mais qui aspirent encore à un financement par des acteurs institutionnels assez puissants”.
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