L’IT de Dexia: faire et défaire…
Après avoir passé plus d’un an sur son plan de transformation, visant à consolider l’IT du groupe, Dexia se prépare à une nouvelle scission de ses opérations. En mars 2010 en effet, le groupe Dexia mettait en place un plan de transformation, impliquant notamment l’IT. Plan mis en oeuvre depuis mars 2011 sous la houlette d’André Vanden Camp, son chief operating officer (voir également Data News n° 13 du 2 septembre dernier). Dans le cadre de ce plan, l’infrastructure du groupe était consolidée à Luxembourg, sauf pour la filiale turque, tandis qu’un CIO – Peter Billiau – prenait en charge les développements et l’infrastructure.
Après avoir passé plus d’un an sur son plan de transformation, visant à consolider l’IT du groupe, Dexia se prépare à une nouvelle scission de ses opérations.
En mars 2010 en effet, le groupe Dexia mettait en place un plan de transformation, impliquant notamment l’IT. Plan mis en oeuvre depuis mars 2011 sous la houlette d’André Vanden Camp, son chief operating officer (voir également Data News n° 13 du 2 septembre dernier).
Dans le cadre de ce plan, l’infrastructure du groupe était consolidée à Luxembourg, sauf pour la filiale turque, tandis qu’un CIO – Peter Billiau – prenait en charge les développements et l’infrastructure.
Certes, André Vanden Camp s’était montré prudent, estimant à l’époque, dans le cadre du projet Dexia 2014, qu’il fallait “ne pas être dogmatique” et que si une cession devait intervenir, il importait que l’IT soit “flexible, réduise les risques opérationnels, améliore le time to market et limite la gestion des coûts.” Ainsi, il n’avait pas été question d’un système de paiement unique pour toutes les entités. Et Vanden Camp d’ajouter: “L’IT ne doit pas être un facteur bloquant, mais un enabler pour le futur de la banque.”
Voilà donc désormais le défi: scinder à nouveau des activités qui avaient été consolidées. Reste à voir s’il s’agira de la procession d’Echternach…
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