Le service de diffusion Last.fm n’est plus accessible dans notre pays depuis le 15 octobre, parce que le site web n’a plus reçu de licence pour ce faire. Last.fm demeure cependant active aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne, mais moyennant paiement.
Le service de diffusion Last.fm n’est plus accessible dans notre pays depuis le 15 octobre, parce que le site web n’a plus reçu de licence pour ce faire. Last.fm demeure cependant active aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne, mais moyennant paiement.
Last.fm – créée en 2002 – est plus ou moins à la base des services de diffusion actuels, tels Spotify. Il s’agit d’une station de radio online combinée à un site communautaire sur base des goûts musicaux personnels de ses utilisateurs. L’amateur que vous êtes peut y faire diffuser des morceaux liés à votre musique favorite, et des fans peuvent y écouter votre canal radio personnel.
Grâce à Last.fm, le ‘broadcasting’ a évolué en ‘narrowcasting’: au lieu d’une radio qui tente d’atteindre le public le plus large possible avec des listes de morceaux auto-choisis, c’est le public qui compose individuellement sa propre petite station de radio. De la musique numérique sur mesure donc, ce que proposent aujourd’hui également des services tels Spotify et Deezer.
Mais à cause d’un problème de licence, Last.fm s’arrête dans toute une série de pays, dont la Belgique. Le service qui était gratuit à l’origine dans la plupart des pays, reste disponible aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne, en Allemagne, au Canada, en Australie, en Nouvelle-Zélande, en Irlande et au Brésil, mais il y devient entièrement payant.
Last.fm sort aussi une nouvelle application mobile baptisée Scrobbler. Celle-ci était déjà disponible depuis quelque temps pour Android et les ordinateurs de bureau, mais elle l’est à présent aussi pour l’iPhone, l’iPad et l’iPod Touch. L’appli gratuite propose des suggestions et des informations complémentaires sur les chansons reproduites dans iTunes et compose pour vous des listes de chansons à reproduire.
