La Politique scientifique va mutualiser ses ressources ICT
Forte de près de 3.000 collaborateurs et d’un budget de 530 millions EUR, le SPF de la Politique scientifique Belspo va “implémenter une stratégie ICT transversale”. Entendez fédérer les services ICT des différentes entités. Quatrième plus gros service public fédéral du pays, le SPF Politique scientifique est constitué d’un ensemble de services aussi variés que les Musées royaux des Beaux-Arts, l’Institut royal météorologique, l’Observatoire royal de Belgique, les Archives de l’Etat, la Bibliothèque royale de Belgique, le Musée royal de l’Afrique centrale ou encore l’Institut royal des sciences naturelles notamment.
Forte de près de 3.000 collaborateurs et d’un budget de 530 millions EUR, le SPF de la Politique scientifique Belspo va “implémenter une stratégie ICT transversale”. Entendez fédérer les services ICT des différentes entités.
Quatrième plus gros service public fédéral du pays, le SPF Politique scientifique est constitué d’un ensemble de services aussi variés que les Musées royaux des Beaux-Arts, l’Institut royal météorologique, l’Observatoire royal de Belgique, les Archives de l’Etat, la Bibliothèque royale de Belgique, le Musée royal de l’Afrique centrale ou encore l’Institut royal des sciences naturelles notamment.
Dans le cadre de son nouveau contrat d’administration 2012-2015, Belspo va être restructuré en 4 pôles opérationnels – documentation, art, espace et nature -, outre une direction générale Recherche et Spatial. Avec différents services d’appui, dont l’ICT qui devient une structure transversale.
L’ambition est de fédérer les services informatiques des différentes entités de Belspo, “en vue d’utiliser de façon plus efficace les compétences et les ressources existantes, tout en respectant le principe de subsidiarité”, explique le contrat, qui reconnaît que certains besoins particuliers requièrent des solutions spécifiques, citant en exemple les questions d’archivage électronique ou la capacité de calcul nécessaires au Plateau d’Uccle.
Ainsi, les plates-formes de Belnet, du Fedict et des 10 ESF (établissements scientifiques fédéraux) seront mutualisées, une politique d’archivage commune sera mise en place, les projets de disaster recovery et de business continuity seront regroupés (un audit en matière de DR et de BC avait déjà été réalisé par Smals et Fedict), un data center à haute disponibilité commun sera créé (associé à un datawarehouse pour stocker les données des programmes de recherche) et des synergies seront recherchées entre les différentes entités. De même, les ressources de calcul et de stockage, les systèmes de sécurité, de téléphonie, de collaboration, etc. seront mutualisés et un contrat-cadre de consultance IT sera conclu.
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