Gommer l’image négative de l’externalisation
La nouvelle branche belge de l’European Outsourcing Association entend mettre fin à la perception, selon laquelle l’externalisation n’est qu’une suite de malheurs. “L’externalisation peut au contraire offrir une solide plus-value”, déclare son président, Dominique Kindt.
La nouvelle branche belge de l’European Outsourcing Association entend mettre fin à la perception, selon laquelle l’externalisation n’est qu’une suite de malheurs. “L’externalisation peut au contraire offrir une solide plus-value”, déclare son président, Dominique Kindt.
La plupart des pays voisins hébergent déjà une branche locale de l’EOA. En Grande-Bretagne, il est même possible de suivre un masterclass débouchant sur l’obtention d’un certificat. “La Belgique en était encore dépourvue. Voilà pourquoi nous avons récemment créé l’asbl”, explique Dominique Kindt, également country manager d’EquaTerra, qui s’occupe surtout de conseils en externalisation.
Contrairement aux associations d’utilisateurs existantes, l’EOA s’étend davantage aux CEO, CFO, CIO et HR-managers. “L’externalisation doit encore gagner en maturité, admet Kindt. L’association va s’y employer.” Ses sponsors sont Accenture, Acerta, Capgemini, Getronics, HCL, IBM, T-Systems et Unisys.
EOA Belgique, qui vient d’organiser sa première table ronde, vise une centaine de membres. Au printemps, en mars ou en avril, l’association EOA coordinatrice européenne mettra du reste sur pied un sommet de l’externalisation à Bruxelles.
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