Take Eat Easy recueille 200.000 euros
La startup belge Take Eat Easy a récolté 200.000 euros auprès de quelques ‘business angels’. Avec cet argent, la petite entreprise espère pouvoir croître plus rapidement et étendre sa base d’utilisateurs.
La startup belge Take Eat Easy a récolté 200.000 euros auprès de quelques ‘business angels’. Avec cet argent, la petite entreprise espère pouvoir croître plus rapidement et étendre sa base d’utilisateurs.
Take Eat Easy est une startup spécialisée dans les plats à emporter. Alors que chez la plupart des plates-formes concurrentes telles Seamless, vous devez déjà avoir une idée assez précise de ce que voulez manger, Take Eat Easy dispose pour sa part d’un moteur de recherche basé sur un ingénieux système de recommandations.
Les utilisateurs doivent uniquement saisir leur adresse, choisir une heure à laquelle le repas doit être livré, et l’appli web leur propose aussitôt une offre étoffée. Les restaurants versent une commission de 12 pour cent par commande décrochée via la plate-forme.
Entre-temps, le starter, qui fut l’un des finalistes de la première édition de l’accélérateur wallon Nest’Up, a du reste déjà lancé une mise à jour. La nouvelle version, qui repose sur le ‘responsive design’ (et s’adapte donc à la taille de l’écran), permet d’ajouter des favoris et fonctionne avec des ristournes, si les utilisateurs arrivent à persuader leurs amis d’utiliser le site.
Fondateur Adrien Roose vient de parvenir à recueillir 200.000 euros auprès de quelques ‘business angels’ (dont le partenaire d’Index Ventures, Francesco de Rubertis).
“Cet argent est nécessaire pour pouvoir étendre notre base d’utilisateurs et augmenter le nombre de restaurants sur notre plate-forme”, déclare Adrien Roose. “En outre, nous préparons actuellement des applis résidentes pour smartphones et tablettes.”
Pour l’instant, une cinquantaine de restaurants bruxellois collaborent avec Take Eat Easy. La plate-forme est accessible sur iOS et Android via une appli web HTML 5.
Ses initiateurs espèrent pouvoir encore récolter 100.000 euros supplémentaires par le truchement de la plate-forme de ‘crowdfunding’ (financement participatif) MyMicroInvest.
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