Les réunions se passent parfois laborieusement du fait que les participants ne sont pas correctement préparés. CupSpace, un nouvel outil web bien de chez nous, entend changer la donne.
Avec cet instrument, les participants peuvent prendre des notes et les partager avec d’autres tant avant, pendant qu’après les réunions. Il en résulte que tout un chacun a une vue d’ensemble claire et uniforme des sujets abordés ou qui restent à traiter. Il est aussi possible d’organiser des actions spécifiques, telles des tâches, de les attribuer à certaines personnes et de les suivre.
Les développeurs Frank Cleynen et Wim Deboel sont des entrepreneurs belges ayant une solide expérience dans le domaine de la consultance au sein d’entreprises internationales. En tant que consultants IT, ils fréquentent des entreprises très variées.
“Nous constatons souvent que les réunions ne se déroulent pas toujours de manière efficiente”, déclare Frank Cleynen. “Généralement, elles pourraient être nettement mieux organisées. Avec CupSpace, nous voulons offrir aux participants un accès à toutes les décisions et actions qui découlent de ce genre de meetings.”
“Les utilisateurs peuvent enregistrer de manière intuitive toutes les notes durant une réunion”, ajoute Wim Deboel.
“D’un simple clic sur un bouton, ils peuvent à partir d’une note engendrer des tâches, décisions, idées et connaître les risques éventuels. Tout cela est réintroduit dans la note via un mini-symbole spécial. Chaque participant reçoit par l’entremise d’un tableau de bord personnel un aperçu de toutes les annotations, tâches ouvertes et autres activités récentes.”
CupSpace a été présenté l’été dernier au grand public via un modèle freemium. Dans les mois précédents, l’application en ligne avait été testée en profondeur au sein d’assez grandes entreprises belges.
“Tant les projectmanagers, teamleaders que les directeurs y ont expérimenté de fond en comble ses possibilités”, affirme Cleynen. Le développement et le lancement de CupSpace ont été financés à ce jour avec des moyens propres, mais à l’avenir, il est possible que l’on fasse appel à du capital externe pour développer des fonctions supplémentaires.
