Digipolis envisage de commercialiser son offre
L’organisation de services ICT des villes et des CPAS de Gand et d’Anvers Digipolis songe à commercialiser les applications qu’elle a développées pour ses clients internes. Dans cette optique, une étude de marché a été lancée.
L’organisation de services ICT des villes et des CPAS de Gand et d’Anvers Digipolis songe à commercialiser les applications qu’elle a développées pour ses clients internes. Dans cette optique, une étude de marché a été lancée.
Digipolis se positionne comme un groupement inter-communes de services ICT au sens large du terme. Dans le cadre de cette mission, de très nombreuses applications sont développées qui pourraient éventuellement être exploitées par d’autres administrations (communes extérieures à Digipolis, administration flamande, etc.), voire des entreprises privées. Le groupement envisage dès lors de faire commercialiser ses développements par un partenaire.
“Pour des raisons strictement financières, explique Peter Crombecq, directeur de Digipolis, interrogé par nos soins. Les moyens se font en effet plus rares. Pour faire face à cette situation, deux pistes sont envisagées. D’une part, celle des subsides émanant des projets européens. Et d’autre part, la voie de la commercialisation. C’est cette solution que nous examinons et dont le résultat pourrait déboucher sur une décision d’élaboration d’un cahier des charges.” Crombercq se déclare très ouvert quant à la cible à consulter. “Il semble évident de prendre en compte des acteurs déjà actifs dans le secteur public. Mais il pourrait également s’agir d’un ouverture vers le secteur privé.”
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