CTG exclue du développement du registre des inscriptions bruxellois
Le registre numérique des inscriptions pour les écoles néerlandophones bruxelloises sera remis bientôt en ligne. CTG n’entre cette fois plus en ligne de compte.
Le registre numérique des inscriptions pour les écoles néerlandophones bruxelloises sera remis bientôt en ligne. CTG n’entre cette fois plus en ligne de compte.
Les parents qui souhaitent inscrire leur(s) enfant(s) par voie numérique dans une école néerlandophone de Bruxelles pour l’année scolaire 2011-2012, pourront le faire entre le 1er février à 8 heures et le 28 février à 20 heures. Voilà ce qu’a répondu le président du collège, Jean-Luc Vanraes (Open Vld), à une question posée par le conseiller Jef Van Damme (sp.a) lors de l’assemblée plénière de la commission de la communauté flamande, selon l’agence de presse Belga.
Après les problèmes survenus l’année dernière avec l’entreprise de services IT CTG, Bruxelles opte désormais pour le service IT de la commission de la communauté flamande en collaboration avec RealDolmen pour la mise au point du système. Ce service IT met actuellement la dernière main au formulaire d’inscription, dont la version finale est prévue pour le 24 janvier 2011. Pour le développement du moteur d’ordre de préséance, c’est l’entreprise RealDolmen qui a été sollicitée.
“Aucun accord n’a été conclu avec CTG. Leur offre a été rejetée en octobre, parce qu’elle était trop élevée”, explique Vanraes. Sur le site d’actualité brusselnieuws.be, l’on avait évoqué à l’époque le montant de 545.000 euros hors TVA, un montant à propos duquel CTG a voulu ultérieurement mettre les points sur les ‘i’.
Le coût actuel est évalué à 90.000 euros. L’an dernier, le registre des inscriptions avait connu quelques sérieux problèmes techniques et dut même être mis quelques jours hors ligne par CTG. Un mois plus tard, une inadvertance de la part de CTG sema de nouveau la confusion chez de nombreux parents, lorsque des mails de test furent envoyés par mégarde à 163 parents à propos de l’acceptation ou du refus de leurs enfants dans l’enseignement primaire néerlandophone à Bruxelles.
Après la réponse données par Vanraes, le conseiller Van Damme n’est pas encore tout à fait serein: “Je trouve étrange que l’entreprise RealDolmen n’ait eu besoin que d’1 mois pour réaliser ce que CTG n’avait pas réussi à faire en 6 mois. J’espère que cette solution sera la bonne.”
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