SAP n’a que faire de Blackberry

Pieterjan Van Leemputten

“Blackberry ne s’inscrit pas dans notre stratégie.” C’est par ces mots qu’un directeur de SAP à indiquer clairement que son entreprise ne s’intéressait pas au fabricant de smartphones.

“Blackberry ne s’inscrit pas dans notre stratégie.” C’est par ces mots qu’un directeur de SAP à indiquer clairement que son entreprise ne s’intéressait pas au fabricant de smartphones.

Werner Brandt, le CFO de SAP, a fait cette déclaration dans le magazine allemand Euro am Sonntag. Il y affirme que son entreprise dispose déjà de solutions mobiles et que BlackBerry ne serait donc que peu complémentaire.

SAP avait été citée dans la série d’entreprises susceptibles de reprendre le constructeur canadien de téléphones. Précédemment, le groupe d’investissement Fairfax Financial Holding avait lancé une offre de 9 dollars par action Blackberry, une offre à laquelle d’autres peuvent réagir.

Parmi ces autres intéressés, l’on a mentionné également l’ex-CEO d’Apple, John Sculley, ainsi que le fabricant chinois d’ordinateurs Lenovo, mais aucun des deux n’a encore lancé officiellement une offre ou exprimé publiquement son intérêt.

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