Quelques actionnaires et une organisation non marchande demandent à Meta, la société-mère de Facebook, un contrôle indépendant renforcé des efforts consentis par l'entreprise pour assurer une sécurité générale sur ses diverses plates-formes. Ajoutons que ce genre d'appel n'a souvent pas été entendu dans le passé.
Quiconque partage des propos haineux ou des images dénudées sur Facebook, se voit infliger une suspension. Le hic, c'est que Facebook n'applique pas ces règles à tout un chacun. Certaines personnalités ou politiciens peuvent n'en faire qu'à leur tête, sans que Facebook ne réagisse.
Les Etats-Unis veulent envoyer de nouveau un équipage sur la lune en 2024, avant de le ramener sur Terre, mais reste à savoir si cela se fera. Le délai prévu ne sera en tout cas pas respecté, notamment parce que les combinaisons spatiales des astronautes ne seront pas prêtes à temps.
Gab, un réseau anti-censure qui semble surtout être apprécié par les gens d'extrême droite, a été piraté. Les auteurs exigent un demi-million de dollars de rançon.
L'ex-président américain Trump ne pourra pas faire son retour sur Twitter. Son compte restera bloqué en permanence, selon un dirigeant du réseau, qui s'est confié à CNBC.
Au printemps dernier, Facebook promettait qu'elle n'allait plus suggérer aux utilisateurs américains des groupes à connotation politique. Tel n'est pas le cas. Ce sont surtout les électeurs de Trump qui font l'objet de suggestions, surtout de groupes qui lancent même des appels à tuer.
Parler ne semble pas prêt de revenir. Le réseau social ne trouve en effet pas de nouveau service d'hébergement, après avoir été bloqué par AWS. Le réseau refuserait de modérer les messages haineux.
Le président du Sénat américain, Mitch McConnel, a entrepris une nouvelle tentative pour abolir la 'section 230' de la loi sur les télécommunications, qui protège les médias sociaux contre les procès.
Dans le vaste ensemble de mesures relatives au covid-19 que le président Trump vient d'approuver aux Etats-Unis, on trouve aussi une série de lois impactant la technologie, dont une à propos du streaming et une autre sur le copyright.
Une deuxième Cour de Justice américaine à donné raison à l'appli de vidéos TikTok dans le cadre de l'appel introduit par la société-mère de celle-ci, ByteDance, à l'encontre de l'ordre donné par le président Trump de transférer toutes les activités américaines de l'entreprise à un acteur aux Etats-Unis.
Facebook a supprimé une série de pages de l'ex-stratège de la Maison Blanche, Steve Bannon. Sur ces sept pages, rassemblant en tout quasiment 2,5 millions de suiveurs, on trouvait des messages erronés sur la fraude lors des élections présidentielles américaines. Précédemment déjà, Twitter avait retiré elle aussi des propos de Bannon.
Twitter a de nouveau inséré un avertissement à côté d'un message du président américain. Le tweet, dans lequel Trump répète son avis non fondé, selon lequel le vote par correspondance s'apparenterait à de la fraude électorale, est, selon Twitter, 'probablement trompeur', indique l'avertissement.
Facebook a licencié un employé, qui s'était montré critique sur Twitter à l'égard de l'entreprise, parce que Facebook ne faisait rien pour s'opposer aux messages postés par Trump, qui enfreignaient les règles générales en vigueur.
Les Etats-Unis doivent en urgence désigner un médiateur en vue de superviser le traité Privacy Shield. Telle est la conclusion (confirmée) du deuxième rapport d'analyse de la Commission européenne.
Le fabricant de puces américain Qualcomm n'envisage plus d'absorber son homologue néerlandais NXP. Voilà ce qu'a indiqué l'entreprise aujourd'hui même, après que la Chine ait annoncé ce week-end vouloir approuver ledit rachat.
Le rachat du fabricant de puces NXP par son homologue américain Qualcomm n'aura pas lieu. Les entreprises n'ont pas réussi à obtenir, avant la date-butoir fixée, l'approbation du contrôleur chinois pour cette fusion.
Si le président américain Trump lève réellement les sanctions imposées récemment à l'entreprise chinoise ZTE, le congrès américain ne pourra que s'incliner.
Plusieurs républicains ne sont pas d'accord avec le président Trump, qui souhaite à présent annuler les sanctions prises contre l'entreprise chinoise ZTE.
Le fondeur de puces Qualcomm vient de lancer une phase de licenciements qui s'inscrit dans la promesse que l'entreprise avait faite à ses actionnaires d'économiser 1 milliard de dollars sur ses coûts.